samedi 31 janvier 2015

"Les Amants passagers": blanca et aldo !



Quand Blanca Li chorégraphie pour Aldomovar !

"La vierge de Sèvres" de Hubert Barrère : pas "le sage" !


Dans sa propre maison ou dans ses fonctions antérieures de directeur artistique, Hubert Barrère s’est toujours attaché à renforcer le lien entre création et savoir-faire, patrimoine et innovation. Au sein de la Maison Lesage, et en liaison étroite avec Chanel, il convoque broderies, dentelles centenaires et matières contemporaines pour créer les motifs des nouvelles collections de ses exigeants clients. Dans sa propre maison aussi, jeu permanent sur la réinterprétation du corset dans une forme esthétique moderne. Fervent défenseur du savoir-faire français, il s’associe également à des maisons comme la manufacture de Sèvres pour revisiter leur patrimoine sous la forme de créations uniques (en photo).

"Ici" de Richard McGuire : ça danse !



Richard McGuire est né dans le New Jersey en 1957 et vit à New York. Graphiste, il travaille à la fois pour l’édition (auteur de trois livres pour enfants, il a reçu pour The Orange Book une médaille d’or de la Society of Illustrators), la presse (Time MagazineThe New YorkerFrau au Japon…), la télévision (habillage, logos et films d’animation de la chaîne publique pour enfants PBS Kids), Internet (conception et design du site www.willing-to-try.com, maintes fois récompensé notamment au Flash Film Festival de Manhattan en juillet 2002), le design (trois collections de jouets, une montre pour la société suisse Swatch)… Deux de ses ouvrages ont été publiés en France :Le Livre fou avec des trous (éditions du Seuil) et Popeye et Olive (éditions Cornélius). Son travail très diversifié mêle la technique de découpage de papiers et de dessin à la main avec celle de l’ordinateur. Réalisateur de Micro loupau sein du film d’animation Loulou et autres loups, il est par ailleurs bassiste du groupe Liquid Liquid. Sa résidence à la Maison des Auteurs d’Angoulême lui a permis de poser les bases de son projet pour Peur[s] du noir.

L'Accroche Note et Philippe Manoury : et plus si "Complicités" !


Un concert qui fera date: une sorte de rétrospective de l'oeuvre pour électronique et "musique en temps réel" cher à Philippe Manoury, actuel professeur enseignant au Conservatoire de Strasbourg!
Après plusieurs années de collaboration fructueuse avec Philippe Manoury (créations, commandes, parution d’un disque monographique), l’Ensemble Accroche Note consacre un concert à ce compositeur important en présentant des pièces avec électronique.De belles affinités sélectives entre l'ensemble et le compositeur: des compagnons de route et de création.
En Echo, pour soprano et live electronics (1993, 25′)
L'occasion pour Françoise Kubler, d'ouvrir cette soirée avec une oeuvre atypique : la voix en action et résonance face aux propositions électro acoustique d'un savant dispositif de mise en miroir de sons enregistrés et rediffusés en temps réel .Une gageure pour l'interprète qui se répond, se devance, se rattrape dans le temps et saisit au vol ses propositions, ses échos et résonances en direct: magie du spectacle vivant initié par ce "médium" vivant qu'est l'interprète face à la technologie qui pourrait rester froide et muette dans son processus de musique enregistrée.La soliste est sobre, concentrée, la pureté et justesse de sa voix sont "complices" avec les sons distillés par l'électronique et la connivence se joue des obstacles et difficultés d'exécution.Un régal, une demie-heure durant sans faille.Une remarquable affinité entre la cantatrice et l'oeuvre de Manoury avec du suspens, de la virtuosité et beaucoup d'élévation, de subtilité sonore, charmante et envoûtante
Succèdent quatre oeuvres passionnantes à ce programme dédié à la musique très innovante et séduisante de Manoury :Stringendo pour quatuor à cordes (2010, 20′)
Partita II pour violon et électronique (2012, 17′)
Xanadu pour soprano et clarinette (1990, 10′)
Hypothèses du Sextuor, pour flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano et percussions (2010, 17′)
On s'y régale de surprise, d'harmonie d'éclats de musique scintillante: un programme initié et impulsé par Armand Angster avec force et loyauté : une des interprètes à la clarinette fait merveille: passation de dons et de technique, partage et filiation assurée pour tous ces jeunes interprètes conviés à interpréter très intelligemment la musique d'aujourd'hui!

Ensemble Accroche Note
Françoise Kubler, soprano / Anne-Cécile Cuniot, flûte / Armand Angster, clarinette / Nathanaëlle Marie et Thomas Gautier, violon / Christophe Beau, violoncelle / Michèle Renoul, piano / Emmanuel Séjourné, percussions / Tom Mays et Sébastien Clara, réalisation informatique musical / Frédéric Apffel, ingénieur du son
Participation de Tom Mays et des étudiants du Conservatoire et de l’Académie supérieure de musique de Strasbourg.Quatuor Adastra : Julien Moquet, Emilie Gallet, violon / Marion Abeilhou, alto / David Poro, violoncelle
Kanae Mizobuchi, soprano et Yuka Togashi, clarinette

Suite à sa rencontre avec Cathy Berberian et Dorothy Dorow, Françoise Kubler consacre la majeure partie de ses activités au répertoire contemporain et à la création. Rapidement, elle devient l'interprète privilégiée de compositeurs comme Philippe Manoury,  François-Bernard Mâche, Georges Aperghis ou encore Ivan Fedele. Elle intègre également à son large répertoire des œuvres classiques, romantiques et modernes, tout en participant à plusieurs formations de jazz. En 1981, elle fonde avec le clarinettiste Armand Angster l'ensemble Accroche Note, avec lequel elle enregistre de nombreux disques monographiques. Françoise Kubler collabore avec des chefs prestigieux tels que David Robertson, Pierre Boulez, Peter Eötvös et des formations comme Ictus, l'Ensemble intercontemporain ou l'Orchestre Philharmonique de Radio France.   
À Musica, elle assure la création de nombreuses œuvres : To God de Pascal Dusapin (1986), Chants ténus de Marc Monnet (1992), Eine Stimme 1-3 de Wolfgang Rihm (2005), Diadème de Christophe Bertrand (2010) ou encore le cycle complet des Poesie francesi de Stefano Gervasoni (2011). Elle enseigne le chant contemporain au Conservatoire de Strasbourg.

Carnaval, danse et fête des fous !




vendredi 30 janvier 2015

Picasso à la plage !



S'habiller !






jeudi 29 janvier 2015

Un Américain à Paris, s'affiche !








Mistic et la danse !

contre danse !

Isadora Duncan: une femme libre !





Danse de la vague, à l'âme, au corps, liberté de bouger sans contrainte: une femme qui danse !

mercredi 28 janvier 2015

Le dernier porté de Brigitte Lefèvre !

par Christian Lacroix !

Les lumières d'Alwin Nikolais

Sculptures lumineuses, dansantes, hypnotiques !




Prenez des forces !


mardi 27 janvier 2015

Sur quel pied danser ?




"Eloge de l'ombre" : Preljocaj lecteur !

Depuis son interprétation du Funambule de Jean Genêt sur de nombreuses scènes, on sait qu’Angelin Preljocaj a un talent certain pour faire résonner des textes de qualité. Une de ses qualités principales étant d’ailleurs la simplicité avec laquelle il les énonce, sans effets, sans afféterie et sans emphase, contrairement à certains comédiens. C’est pourquoi on pourrait presque affirmer qu’il a une façon toute chorégraphique de proférer les phrases, qui tient à l’attention au temps – et donc à la ligne du récit – et à l’élégance du style.
Cela n’a pas dû échapper aux éditions Naïve, qui l’on sollicité pour lire et enregistrer ce magnifique Éloge de l’ombre.
Publié en 1933 au Japon, ce livre a été traduit en français par le japonologue René Sieffert. L’auteur défend une esthétique de la pénombre comme par réaction à l’esthétique occidentale où tout est éclairé, s’employant à comparer divers usages de la lumière et de l’éclairage (des lieux d’aisances, par exemple) chez les Japonais et les Occidentaux. De plus, fidèle à l’esthétique du « sabi », il revendique la patine des objets par opposition à la manie de la propreté occidentale. Livre culte, notamment dans le milieu chorégraphique, Éloge de l’ombrede Junichiro Tanizaki est une réflexion sur la conception japonaise du Beau. Passionné par le Japon et sa culture, notamment par le nô, qu’il était parti étudier là-bas dans sa jeunesse, Angelin Preljocaj, il était également fasciné par les auteurs japonais, notamment par Tanizaki qui était l’un de ses auteurs préférés. « Aujourd’hui, écrit-il, me voici en charge de rendre palpables les subtilités de l’écriture d’un auteur qui nous fait toucher du doigt les spécificités d’un Japon profond et délicat, tirant vers l’épure, et dont l’esthétique peut s’apparenter à la démarche radicale du théâtre Nô. »   Cet enregistrement, lui a donné l’opportunité de rendre hommage à cet écrivain majeur.
Un très beau texte à écouter.

Éloge de l’Ombre – Collection « L’Oreille des mots »-  Naïve Livres Lus – 18 €

Une épine dans le pied ou le dos ?





Réveil de danseuse ! Panoplie matinale !









lundi 26 janvier 2015

"Déesse ex machina" : machin-machine à séduire !


PERFORMANCE dansée et chantée « Déesse ex Machina »
Par Geneviève Charras, charivarieuse

Mercredi 4 Février 2015- 18H 30

Galerie ART COURSE
49 Bis rue de la course
STRASBOURG

Dans le cadre du vernissage de l’exposition « Machin(e)s (œuvres) délirant(e )s et désirant(e)s
Et « strasbourg mon amour » !

Entrée libre !!!!!!!!!!!


Danser dans le froid !