samedi 30 avril 2011

Jardins des délices à Uttenhoffen :performance "muguet"!

Cela pourrait être dans le jardin de la Ferme Bleue à Uttenhoffen ce dimanche à 17H...
J'y fais une performance dansée et chantée avant le vernissage de l'exposition de Pierre Gangloff  "Jardins et délices" à 18H...
Sur le lys, les délices, Ulysse et Loie Fuller!
(photos:J.L.Hess)


Le ballet brosse

balayette danseuse (photo:J.L.Hess)
sculpture de Carole Lang (photo R.Becker)

vendredi 29 avril 2011

Danse très british pour le mariage du Prince William et de Kate Middleton

Bal et descendance!
Vivent les mariés....
Et ils eurent beaucoup d'enfants métissés!!!
(photos:J.L.Hess)






Journée internationale de la danse UNESCO CDI: 29 AVRIL

Et oui, cela existe aussi pour la "danse": à l'initiative du Comité de Danse International CDI proche de l'UNESCO . La date a été choisie en hommage à Noverre auteur des "Lettres sur la danse" -1727  1810- Cette année le message est d'Anne Teresa De Keersmaeker.....Alors bonne journée et surtout "faut que je danse" disait J.C. Gallotta dans son préambule à son "Daphnis et Chloé"!!!! Tous en scène, sur tous les continents, dans toutes les "formes" de danse!
(photos: J.L.Hess)

Danseuse classique européenne: suspension

danseuses porte-clés déjantées

danseuse fitness

danseuses de Taiti

danseuse thai

danseur de flamenco

danseuse boite à dents

Championnat s du monde de Danse sur glace: Nathalie Péchalat, virtuose!

La "danse" sur glace a ses codes, ses figures, mais aussi sa poésie, sa créativité peut être source d'émotions, de beauté. Les épreuves actuelles en "solo", en couple en sont l'illustration. Je me souviens de Péguy Fleming, inventant des tours acrobatiques et inédit aux J.O. de Grenoble en 1968.....Mon "idole"!
(photos:JL.Hess)

Barbie patineuse collector 1961



Ours patineuse collector peluche

famille ours patineurs collector peluche

Pacifique: Nasser Martin Gousset à L'Arsenal de Metz


« PACIFIQUE » : Nos idoles de bleu vêtues !
Friand de cinéma  burlesque, de musique rock et pop, Nasser Martin Gousset nous concocte un genre hybride de spectacle dansé: le thriller. Sous ce titre « Pacifique », rien de vraiment tendre ni calme. Plutôt la houle et la turbulence dans une écriture chorégraphique propre à ce révolté de l’existence, fils de personne et venu de nulle part.
Son credo : le cinéma avec en référence « Autant en emporte le vent », les héroïnes romantiques et fougueuses, passionnées. Scarlett O’Hara et Rhett Butler. Les ambiances à suspens, par-dessus tout imprègnent son œuvre de jeunesse comme celle d’aujourd’hui..
Les héros sont fatigués: sur la plage, en bateau, dans un bar ou un aquarium…On ne sait plus où ils donnent du geste et se meuvent. L énigme reste en souveraine, le sujet et l’objet de la pièce. Le bleu règne en maître absolu et nous transporte dans des fonds sous-marins dignes du capitaine Nemo. Plongée dans les eaux troubles des séries noires, la pièce de Nasser Martin Gousset est aussi un hommage au tournage cinéma, à la fausse obscurité de la nuit américaine dansée telle une comédie musicale revisitée. Sur le plateau, on tourne. Moteur/Action. Si Pacifique voit la danse dans ses tonalités les plus sombres, les plus bleues, c’est pour mieux rendre à la danse sa fluidité, celle qui coule de source en mouvements chaloupés, gracieux, sensuels. Des excès en tous genres fusent sur le plateau et l’ambiance vire au délire, à l’extase des corps se percutant dans un songe absurde. Résolument pop, volontiers chic ou romantique, carrément rock, glamour toujours, le chorégraphe chine les icônes rêveuses qui flottent dans les mémoires, issues d’époques enfouies et pourtant bien présentes au sein des mémoires collectives. Les idoles dansent la farandole et percutent nos esprits, jaillissent de nulle part pour reconstituer une ambiance, une atmosphère nostalgique. Le mouvement chez lui résonne se propage en sursauts nerveux, déhanchés, chaloupés et fluides ondulations, brusquement pétrifiées dans leurs courses. Dans l’immensité de l’océan, dans le trouble du métissage des genres et des disciplines, dans le désir d’investir l’espace illimité d’un bleu  envahissant, omniprésent !
N’y voir que du bleu.
 Cette comédie « essentiellement graphique, où le corps se fait matière pour parler de cinéma » aux dires du chorégraphe demeure une pièce sur l’eau, sur l’inconnu, sur la femme, sur la mère. « Pacifique » est bleu, toutes sortes de bleus: le bleu Klein-le bleu vert-le bleu marin- le bleu gris- le bleu de la mer qui se confond avec le bleu du ciel, puis tout à, coup le rouge! Le rouge sang envahit l’écran bleu, aussi sanglant que le meurtre. « Pacifique est un triller sous-marin », un nouveau genre spectaculaire, hybride, multimédia et très plasticien. Là où « les corps deviennent progressivement aquatiques, fluides, comme ralentis par l’eau, en immersion totale, presque arrêtés ». Et là où tout se trouble, c’est dans l’évocation de James Bond: les références au cinéma et au triller y abondent. En se servant de ce cliché glamour de l’agent secret, Nasser Martin Gousset aborde notre relation en tant que spectateur au fantasme hollywoodien mis ici en abîme. Une bande son comme au cinéma avec bruitages et autres atmosphères musicales étaye la pièce et la relie aux films noirs ou aux films d’anticipation. La bande son, à défaut du live, permet une distance et donne plus l’idée du cinéma. Le décor aussi, une énorme rampe de skate occupe tout le plateau, comme dans les autres spectacles de la trilogie sur le septième art (Péplum-Comedy). Des décors imposants, indispensables à la mise en scène, permettant au corps de fusionner avec son architecture ainsi qu’avec le thème abordé. Décidément, ce « Pacifique » aux sens multiples révèle le foisonnement de pistes que contient l’imaginaire du chorégraphe bouillonnant et créateur de nouveaux signes dans l’art chorégraphique porteur de métissages multiples.
Geneviève Charras
« Pacifique » au Grand Théâtre à Luxembourg les 17 et 18 Juin à 20H


jeudi 28 avril 2011

Bibliothèque verte et rose: on y danse aussi!

Des livres d'aventure: Alice, les Six compagnons, Fantômette se sont aussi intéresses à la danse: énigme, suspens, aventure autour d"une ballerine, de chaussons, de tutu!!!! Tout un mythe encore et encore pour la petite fille ou l'adolescente que j'étais...Et La collection "Lâge heureux" d'Odette Joyeux!!! (le trésor des hollandais, le journal de delphine). Lorna Hill signe à l'époque 1963, "Irène à l"opéra",  "Rosanna entre dans la danse", Paul-Jacques Bonzon,"La ballerine de Majorque" et la série des six compagnons et Caroline Quine "Alice au bal masqué" "Alice et la pantoufle d'hermine", "Alice et les chaussons rouges". (photos: J.L.Hess)


mercredi 27 avril 2011

L'humour des notes à Haguenau: ça va guincher!

L’humour des notes
Nota bene ! En fanfare ! En avant la musique !

Ca ne dénote jamais à Haguenau, au beau mois de mai : vingt ans que ça dure sans fausse note, le public pouvant même s’éclipser sans payer la note car beaucoup de spectacles sont à entrée libre, donc on ressort « libéré » de tout préjugé..
On note cette année la venue attendue,avec une création spéciale, de la fanfare « Les Grooms » pour mieux vous tenir la porte d’entrée du festival. Avec aussi la participation d’ensembles locaux, et en prime de fidélité, un grand spectacle événementiel « Zic Zazou » pour souffler les vingt bougies de la manifestation. Ils seront en déambulation sur une locomotive, une vraie ou à peu près !Et en sus le célèbre « Quatuor », les « Sea Girls » sirènes démoniaques, « La framboise frivole » toujours aussi délicieusement belge , la compagnie « L’envers du Décor » pour mieux visiter les coulisses de l’exploit.
Un festival en fanfare et trompette !
Sans omettre la présence des « Trompettes de Lyon » qui n’ont plus à faire leur « renommée ». Et « Les Brigands » et so,n spectacle facétieux « Au temps des croisades » pour dévaster, dérober des trésors d’humour comme autant d’Ali Baba aux proies avec les 40 voleurs. Surprise avec « Compagnie 26000 couverts » : au menu un festin de variations appétissantes et savoureuses. Dans les rues du centre ville, place aux spectacles impromptus, sous le chapiteau et dans les bars de la ville, l’humeur va faire fureur et surement quelques beaux ravages. Humour musical au menu avec Richard Gotainer, inoubliable auteur de tubes immortels comme le « Youki » ou la « Sampa », les Grooms avec une opérette de pacotille faite pour la rue avec fanfare, chanteurs lyriques, orchestre d’harmonie et chorale intitulé « Le bonheur est dans le chant » ! Le tout sur un texte original d’Eugène Durif.
Sous le chapiteau, en voici en voilà, du « Off » dans un registre plus décalé et caustique, comme Arsène Lupunk Trio, Gérald Genty, David Lafore, Laérosol ou encore une fanfare « alsacodélirante ».Que de décibels pour amadouer nos oreilles, délier nos zygomatiques, enchanter petits et grands, le temps de moments festifs et conviviaux !
« L’humour des notes » c’est aussi un parcours citoyen avec des préoccupations équitables, et écologiques avec emballages et tracs recyclables, attitude « tiers-mondialiste » et artistique respectueuse pas que de l’environnement sonore ! Le moins « respecté » peut-être au vu de la tonitruance du projet qui fera écho dans toute la ville. Comme un grand ricochet de sons qui se déploie et fait mouche !
Vingt ans et pas une ride, sans fausse note.
Allez vous reprendrez bien une petite note de musique pour la route
Notez bien sur votre carnet de bal le rendez-vous de l’humour et de la musique tous azimuts : du 26 Mai au 4 Juin.
Geneviève Charras


TRILOGIE RUSSE Ballet du Rhin


TRILOGIE RUSSE : Trésors enfouis ressuscités !
« De la musique avant toute chose »
La danse cosmopolite et la musique russe en cavale
Un programme inédit et virtuose : voici ce que propose Bertrand d’At pour impulser une fois de plus le Ballet du Rhin à côtoyer des univers musicaux et chorégraphiques inédits, à se plonger dans l’inconnu pour surprendre, séduire, déranger et déplacer les propos qui pourraient faire croire qu’une œuvre est définitivement référencée.
« De l’audace, toujours de l’audace » ou bien « Etonnez-moi » seraient-il ses leitmotiv de direction artistique ? Il faut le croire au vu des paris engagés sur trois nouvelles productions de pièces courtes « coups de poings », nouvelles chorégraphiques signées par trois « pointures » de la discipline. De Stravinsky, Bertrand d’At retient « Le baiser de la fée » qu’il confie à Michel Kéléménis, « Le Sacre du Printemps » qui échoue à Garry Stewart et Virginia Heinen se voit attribuer « Chout » , une pièce exhumée de Prokofiev.
Que dire de créations en cour, si ce n’est confier les ambitions, les envies et désirs de création qu’elles suggèrent ou contiennent pour celui qui doit triturer la masse sonore, façonner les compositions corporelles qui semblent convenir aux musiques convoquées pour l’occasion ?
Michel Kéléménis, actuel fondateur d’une Maison de la Danse dans son fief marseillais, aborde « Le baiser de la fée » avec sérénité, conviction et force : celle d’oser la narration dansée, le récit des corps pour épouser à l’origine le conte d’Andersen. Oui, une histoire, pas une illustration. Une révélation de cette pièce de Stravinsky, méconnue, voire ignorée. La danse subtile et raffinée de cet ancien interprète de Dominique Bagouet va sans nul doute dans le sens de la préciosité des gestes, dans la direction des choix radicaux chorégraphiques inspirés par le révolutionnaire en son temps des tempi, rythmes et instrumentalisation de l’orchestre « classique ».Une belle rencontre qu’il fallait provoquer pour raviver la flamme du son et des sonorités incongrues de Stravinsky. Encore ce dernier à l’honneur avec la version du « Sacre du Printemps » mise en corps et en espace par le féroce et redoutable Garry Stewart, chorégraphe invité et chéri par le Ballet du Rhin. De l’art brut et tribal qui jaillit à chaque note du Sacre, Garry retient la sauvagerie, le questionnement de la danse foudroyante et inspirée par la passion et la violence du propos. Que sera le destin de l’Elue, entre les mains de ce nouveau démiurge de l’écriture contemporaine chorégraphique ? Que de l’audace et du rebond, à coup sur ! Et dans cette tempête et tourmente, face à cette tornade jubilatoire, la douce et tendre Virginia Heinen ne se positionne pas cependant comme la brebis consentante. Elle s’attèle à une partition quasi inédite de Prokofiev, virulente, exaltante, elle qui abonde dans la danse d’expression et la tradition de ses maitres Kurt Joos et Jean Cébron, les chantres de la danse allemande des années 1920-1950.La voici qui ose provoquer Prokofiev en oubliant et évacuant le contenu du livret d’origine, le thème du bouffon. Quel toupet !
« Trilogie russe » promet de la déflagration, comme la révolution qui valut au pays à l’époque la venue des Ballets Russes de Serge de Diaghilev qui allait refondre la pensée et l’acte chorégraphique à partir de l’œuvre emblématique de Stravinsky : le désormais éternel et fascinant « Sacre du Printemps » !
Geneviève Charras
« Trilogie Russe » à Mulhouse les 13 14 15 Mai, à Strasbourg du 1 au 5 Juin à l’Opéra


Festival Nouvelles: Danse/ Performance/ Strasbourg


Festival Nouvelles : Danse/ Performance/ Strasbourg
Résolument « Trans-Indisciplinaire » !
Refus des catégories, affirmation du décloisonnement des disciplines, déplacements des pratiques artistiques : le festival a désormais un gout de manifeste iconoclaste et affiche résolument une programmation transversale entre les arts qui façonnent le paysage culturel de la danse. Y fleurissent des propositions singulières d’acteurs provenant d’horizons divers. La danse entre en fanfare au musée, la performance sort dans la rue et prend ses quartiers avec de l’audace et le cinéma s’y expose en majesté. Culture nomade et inventive, temps et espaces réinventés jalonnent les rendez-vous incontournables de cette édition très osée et bigarrée. Très « tendance », temps-danse !
La Madone Mobile, femme très distinguée.
Cette année, en ouverture, la dernière création de la chorégraphe en résidence à Pôle Sud, Maria La Ribot « PARAdistinguidas ».Symbole fort de la transdisciplinarité. Cette danseuse madrilène,  de formation classique et contemporaine, séjournant actuellement en Suisse après un long séjour édifiant à Londres, patrie des galeries d’art contemporain, est rapidement devenue « artiste visuelle ».Elle a contribué au développement de la nouvelle danse en Espagne dès les années 1980. Humour et excentricité seraient son credo et sa pratique qui questionne l’économie du spectacle vivant, le marché et la fonction de l’art comme  ou l’actualité. La Ribot expose et interroge le regard à partir du corps, déplace le spectateur « idéal », « bricole » la scène en autant de points de vue avec ses courtes pièces, son « projet distingué » qui s’est déroulé de 1993 à 2000 avec 34 solos de trente secondes à sept minutes : dans ces poèmes nouvellistes en mouvement, ces tableaux vivants(Panoramix), La Ribot se montrait nue, avec beaucoup de distinction, comme seul paravent contre l’offense. La légèreté, l’humour et la force de l’interprète en ont fait ses pièces maitresse et la référence de son processus de création artistique. Cette idée incongrue et malicieuse, hommage aux « Trois valses distinguées » d’Erik Satie allait vite prendre une envergure imprévue !En 2004, Maria Ribot a mis en scène « 40 Espontaneos » avec quarante amateurs prêt à se jeter à l’eau et à en rire. L’ « espontaneo » est, en tauromachie, celui qui saute dans l’arène pour prendre la place du torero. Brisseur de règle, il ajoute du risque et peut faire tourner la corrida en boucherie… Voilà bien le profil de celle que la « redon-dance » agace comme le « chorégraphiquement correct ». Quatrième série des « pièces distinguées », son spectacle  sera dans cette veine là avec des danseurs amateurs strasbourgeois et du cru .L’inconfort y sera de mise mais pas le plaisir ou l’astuce qui caractérise son travail.
La génération de ce que l’on a nommé à tord « la non-danse » sera présente en majesté avec tous ceux qui en sont les auteurs protagonistes et instigateurs du moment. Les années 1990 en grandes pompes avec la présence de Xavier Leroy, celui que l’on a pu découvrir lors de ses fameuses « conférences dansées » revient avec « Produits d’autres circonstances » en lutte avec ses déboires sur le butho. Puis place à Jérome Bel qui avec « Cédric Andrieux » rend hommage à ce danseur de chez Merce Cunningham, maitre absolu de la modern-dance.
Alain Buffard prend le relais pour déjouer les forces de l’ordre militaire avec huit danseurs aux comportements aliénés par la rigidité et la bêtise des tyrans de la milice et de tout gouvernement fasciste. Thierry Bae, lui, évoquera sa vie avec trois compères dans « Je cherchai dans mes poches » et fouille les strates d’une existence de danseur traqué par la maladie, hanté par la peur, les rêves, les espoirs infinis. Rachid Ouramdane brosse les portraits des figures admises du corps social à savoir les identités construites sur des modèles, des cultures bafouées ou reconnues comme porteuses de ces sortes de corps glorieux et grandiloquents. Un acte politique dansé, posé comme un manifeste d’intégrité et singularité de l’être. Question de respect, d’humanité, d’intégrité. Et en prime l’excellent trio de Miguel Gutierrez « Last Meadow » hommage à James Dean, image emblématique d’une Amérique en état d’effondrement clinique ! 
A noter Fanny de Chaillé avec trois pièces « Gonzo conférence », « Nos illusions perdues » et « Course de lenteur » où il faut avancer le plus lentement possible dans le but d’atteindre la ligne d’arrivée en dernier ! La folle journée au FRAC Alsace et au Musée Wurth, le dimanche 22 Mai à ne pas manquer au vu de la diversité des propositions et la convivialité du moment. Ce sera bien « une journée particulière » !Avec en prime la création d’Olga Mesa avec son « Labofilm ».
Festival Nouvelles danse/ performance/Strasbourg du 18 au 28 Mai à Pôle Sud et ailleurs.

ça décoiffe!

du balai!

Le Lac des Cygnes, "brodé"!

Toujours d"actualité, jamais "asséché", il inspire bon nombre de chorégraphes contemporains et les fantasmes populaires de tout un chacin: la preuve!
La broderie aussi et les brodeuses: le premier est le mien, éxécuté vers les 8 ans, le second, chiné dans un vide-grenier! (photos:J.L.Hess)



pixi collector

mardi 26 avril 2011

les ballets russes de Philippe Favier

"Ballets russes et compagnies" Centenaire des ballets russes à Monaco chez Gallimard
Ouvrez ce livre d'artiste inédit pour avoir les plus belles surprises plastiques de cet artiste stéphanois, qui scrupte le corps et les miniatures avec délice!D'après les ballets de Jean Christophe Mailllot à Monte Carlo.
Un ouvrage très astucieux sur l'histoire, l'iconographie de l'époque et bien sûr des œuvres originales de Favier qui s'est penché avec ravissement sur un mythe, une légende de la danse
(photos: J.L.Hess)

l'après-midi d'un faune Nijinsky Pixi collector

le spectre de la rose Nijinsky Pixi collector

le Tricorne Pixi collector

Danse baroque toujours au Conservatoire de Strasbourg

Une conférence dansée le 26 Avril à 18H à Strasbourg à la cité de la musique et de la danse! Avec Guillaume Jablonka
biscuit de Sèvres du musée historique de Bâle
(photos: Robert Becker)




dimanche 24 avril 2011

Pâques baroques; ça danse, ça cloche!

A cloche-pieds pour ce retour des cloches de Rome au bercail!
Un peu de danse de cour, de basse-danse en cette journée de basse-cour où les poules et lapins de Pâques sont "chocolat"! Bas-rock en biscuit de Sèvres du musée historique de Bâle.
Joie de danser en couple, entre enfants déguisés en héros de comédia del'arte.
(photos: Robert Becker)




vendredi 22 avril 2011

Van Dongen et Jean-Louis Forain au cabaret et au foyer de l'opéra

Beaucoup de peintres se sont passionnés pour les "bals" parisiens et non des moindres: Renoir, et bien d'autres.
L'exposition au musée d'art moderne de la ville de Paris dévoile un Van Dongen fou de danse, de scène intimes de danseuses de cabaret et Jean-Luis Forain au Petit Palais excelle dans les scènes sociologiques des bourgeois fréquentant assidument le foyer de l'opéra de Paris pour y soutenir leur danseuse en présence de leur mère -tiroir caisse de cette prostitution souterraine.
La petite danseuse de Degas parmi elle!
figurine Pixi collector photo: J.L.Hess

danseuse de cancan plomb photo:J.L.Hess

Jean-Claude Gallotta: Daphnis et Chloé à Paris aux Théâtre des Abbesses

La pièce mythique de 1982 "Daphnis et Chloé" de J.C. Gallotta est reprise actuellement à Paris.
On se souvient du merveilleux film de Claude Mourièras "Les bergers qui s'attrappent" d'après l'oeuvre citée.
Mathilde Altaraz, Pascal Gravat et J.C. Gallotta , trois phénomènes dansants, tendrement et sauvagement, l'amour, comme un duo, deux duos, un trio final qui donnait envie de partager nos vies, comme autant d'attraction et séduction "à fleur de prise" comme disait J ean Paul Fargier dans sa critique de Art Presse spécial danse de l'époque. La grâce incarnée, que cette pièce, toute en apnée, suspension, petits gestes tétaniques et baroques, signature de ce chorégraphe qui n'a pas pris une ride, sinon quelques cheveux blancs!
Que du bonheur qui fait vibrer et met en empathie les corps et cœurs des spectateurs avec ces quatre interprètes hors pair! A voir absolument.(photos:J.L.Hess)


Barbie pond des oeufs de Pâques qui dansent!

La voici prolixe, Barbie Danseuse: elle fait des petits comme nos lapins de Pâques à Strasbourg! Ou, elle se dédouble!(photos: J.L.Hess)